Alors que le premier franchisé belge, Benoit Lesens réalise ses premiers rendez-vous en clientèle, Camille Moquet, responsable du développement de la franchise à l’international reviens sur les adaptations qu’il a fallu apporter au concept pour s’implanter en Belgique.

D’un point de vue global, on peut considérer que la Belgique est un pays similaire à la France, le concept est donc approprié au marché local. Les quelques adaptations nécessaires se sont donc faites au fur et à mesure. Cependant, un travail en amont a été fait pour s’informer notamment de la législation sociale (coût du travail, règlementation…), fiscale (taux de TVA) et en matière de consommation (conditions générales de vente…). En ce qui concerne l’accès à la profession, la Belgique demande simplement un diplôme de gestion pour pouvoir exercer le métier d’entrepreneur paysagiste. De nouveaux prestataires ont également été répertoriés, notamment les banques partenaires, les fournisseurs de matériels.

Le métier de spécialiste de l’aménagement d’allées, cours et terrasses en lui-même n’a pas subi de grands changements, les prestations et produits proposés sont similaires à la France. La concurrence étant assez diffuse, comme en France, les zones de chalandise sont similaires, c’est-à-dire 40 000 maisons avec jardin. A la seule différence qu’il existe beaucoup de maisons mitoyennes en Belgique, qui représente un petit potentiel de réalisations. Le calcul des 40 000 maisons s’est fait sur les « villas 3 & 4 façades » comme elles sont appelées, c’est-à-dire, les maisons individuelles.